«Seigneur....MARCO!» Sophie se lève de la chaise des douleurs au ventre avant de voir le liquide par terre. «Merde Marco tu fous quoi... le bébé va arriver et je ne veux pas que ce soit ici.» Ce dernier était parti pris de panique comme tout jeune homme de 18 ans. Sophie n'avait que 17 ans, mais sa mère lui avait dit que quoiqu'il arrive elle allait être là pour elle tout comme son père. Triste qu'il soit parti, elle appelle sa mère en pleur qui travaillait en ce moment pour qu'elle puisse l'emmener à l'hôpital. Cette dernière parle avec son patron qui la laisse partir vu qu'elle est justement infirmière donc va pouvoir aider sa fille. Trois heures après son arriver à l'hôpital, le petit ange vie le jour dans les bras de sa mère endormie sauf que des complications arrivent. Sophie perd beaucoup de sang mais à l'intérieur, ils doivent donc l'opérer d'urgence. Les infirmières prennent soin du petit ange qui n'avait pas encore de nom. Voyant la grand-mère approcher près de la vitrine, une des infirmières arrive proche d'elle. «Alors....» Elle avait entendu pour la mère de la petite. «Elle est....dans le comas forcé.» Elle ne pouvait pas retenir ses larmes ce qui causa les pleures des bébés dans la pouponnière qui avait ressenti cette peine. «Je suis navré Monique, ta fille est forte, elle va voir grandir sa fille.» «Maelys Laura... ma fille voulait Lorenzo si c'était un gars donc Laura c'est un beau prénom et elle a toujours aimé Maelys comme prénom. » Elle sourit faiblement à l'infirmière près d'elle. «Elle sera très forte de caractère cette petite. Une boule d'énergie je suis sûr.»

L'infirmière avait raison, car dès ses 5 ans son caractère c'est montré très fort et elle ne pouvait pas rester en place. Elle a toujours été vers le monde jusqu'à ses 12 ans où le lycée lui a ouvert ses portes. Sa mère lui avait parlé de ce moment-là, c'était pour sa mère le pire et elle souhaite ne pas connaitre cela. Sa première journée ce passait bien jusqu'au dîné. «Hey gamine va ailleurs.» La traitée de gamine c'était la pire insulte surtout qu'elle n'était pas plus grande qu'elle et encore moins plus âgé peut être un an de plus. «Tu as dit quoi? Gamine... je ne crois pas.» Elle lui a ri complètement dans la face cette fille, c'était un peu trop quand même, elle est nouvelle et on la cherche déjà. «Faut pas me chercher, tu veux cette place pour manger...va ailleurs il y en a plein d'autre.» «Tu creuses ta tombe toi.» Maelys se lève pour être à la même hauteur. «Je viens de dire quoi...du vent sinon on peut toujours régler cela avec les mains dans la cours.» Elle avait vu cela dans des films et comme elle a suivi des cours d'auto-défense, elle peut très bien lui en mettre une. L'autre trop fière accepte le combat qui va se passer après l'école dans la cours. Comme elle avait fini de manger, elle part le sourire sur les lèvres. Elle était maligne et attendait avec impatience la fin des cours. La journée terminée, elle va dans la cours attendant la jeune femme qui arrive avec une gang. «Tu peux toujours arrêter et te plier à nous.» Maelys se mit à rire. «Fini le blabla et laissons place à l'action.» aussitôt dit aussitôt fait. Elles se sont battus à coup de pied, de poing et ça l'a fini une demi-heure plus tard Maelys est assit sur l'autre lui tenant les bras. «Tu n'es pas plus forte que la gamine faut croire.» Elle se relève pour l'aider à se relever. «Je suis Amber.» «Moi c'est Maelys Laura, mais appel-moi Maelys.» C'est grâce à cela qu'elle s'est fait une réputation de dure et elle l'a gardé jusqu'à la fin de son lycée. Le bal de la promo, à 17 ans c'est toujours ce qu'il y a des plus importants dans une vie après tout. On ne vit ça qu'une seule fois dans sa vie. Elle avait acheté sa robe, dépensé tout son argent pour cela, car elle voulait être la plus belle, en plus elle avait été demandée pour chanter des chansons durant le bal, elle avait accepté comme l'université coûte cher bien sûr elle avait juste à demander à sa mère et son beau-père de l'argent. Sa mère est styliste et son beau-père est un grand avocat. Ils sont fiers de son choix, elle veut s'en aller en droit à l'université. Son bal était parfait, elle dansait avec plusieurs amis, elle a chanté beaucoup de chanson. Elle savait que ses amis avaient bu beaucoup, mais elle ne voulait pas conduire pour se rendre chez eux. Le plus âgé décide alors de conduire avec sa voiture, allant porter plusieurs avant de prendre la route du manoir de son beau-père qui était éloigné de la ville, dans le haut de la ville en fait. Il y a des arbres partout sur la route et les deux commençaient à s'endormir. Tout ce passe tellement vite, la perte de contrôle, l'arbre qui arrive rapidement. À son réveille, elle était dans un lit d'hôpital entouré de ses parents. «Ma puce tu es réveillé.» Sa mère au bord des larmes, elle tourne la tête difficilement vers son beau-père. «Ne bouge pas trop ma chérie, le médecin va venir pour te le retirer si tout va bien. » «J'ai mal...à la jambe papa.» Maelys laissait des larmes coulées pensant à son ami. «Hugo...comment va-t-il?» Ses parents s'échange un regard. «Ma chérie.... il est mort... je suis tellement désolé.» Elle regarde sa mère avant de fermer les yeux. «Et tu as perdu un bébé dans l'accident ma chérie.» Elle rouvre les yeux. «Quoi...impossible. Je prends la pilule et il portait toujours des préservatif.» Sa mère essaie de la calmer. «Je sais ma belle, mais il y a un faible pourcentage que la pilule ne te fasse pas et les préservatif sa fuit.» «On va te laisser te reposer ma belle.» Ses parents sortent de sa chambre. Elle remet en question son entré à l'université, elle prend deux ans pour y penser. Elle n'avais que 19 ans lorsqu'elle a fait son entré à l'université pour devenir policière. Ça lui a pris deux ans pour oublier son amoureux. Incapable de se concentré durant ses cours, Maelys décide d'arrêter tout cela et de trouver un travail comme serveuse. Cela fait maintenant plus de cinq ans qu'elle est à se restaurant. Elle aime toujours autant la police sauf qu'elle se compense avec les émissions maintenant. Son métier la rend heureuse, pas besoin d'un amoureux dans sa vie, son chien, ses clients elle a tout pour sourire à chaque jours.