Mon cœur battait bien trop vite, le sang me monter au cerveau. Je devrais avoir les idées embrouillées mais ce n’était pas le cas. Je respirais fortement et pourtant au fond j’étais bien calme. Je n’étais pas dans cet état il y a quelque minute. Mon esprit était embrouillé par toute cette rage, toute cette colère. Mais maintenant j’avais pu l’évacuer. Maintenant j’avais la tête plus tranquille, ma respiration était encore rapide mais je sais que dans quelque instant elle sera plus calme. Comment évacuer tout cette rage ? Simple ! Je prends un mec –au hasard- je fais en sorte qu’il fasse la pire connerie de sa vie –c’était-à-dire venir se frotter à moi- et là j’ai le plaisir de pouvoir lui casser la gueule : dans tous les sens du terme. Je pense que même sa mère ne pourrait le reconnaitre. Il y avait aussi une autre solution, prendre une fille et la baiser violement dans les chiottes ou encore dans un placard ou peut être une salle de classe vide. Qu’importe ça marche aussi. Malheureusement je n’avais eu que ce mec sous la main. En fait c’est plus malheur pour lui que pour moi. Tout ce que j’avais c’était des phalanges rouge et en sang –un tiers était à moi le reste au gars. Ce qui était triste pour moi c’est que maintenant je devais aller à l’infirmerie. Personnellement je ne serais pas partis si un prof –dieu seul sait d’où il sortait lui- ne m’avait pas obligé. J’avais déjà fait assez de désordres pour lui casser la gueule au prof aussi. D’ailleurs c’est une limite que j’évitais de franchir mais que je sais que je pourrais. Heureusement que papounet était là pour donner une généreuse compensation à l’université en contre partie de mon comportement déplacé –c’est ce qu’il dit lui-même. Mais après tout, je ne lui ai pas demandé de le faire à ce pauvre –non en fait riche- con. Je me fiche de son argent et même de cet université. Si ce n’était que moi, je retournerais à Londres avec ma mère, mais cette … n’allons pas insulter ma mère, disons simplement qu’elle ne veut plus de moi. Je sais que je ne suis pas facile à vivre, mais je sais que je serais bien plus heureux à Londres qu’ici. Mais apparemment ce n’est pas l’avis de mes parents. Va savoir pourquoi je suis ce qu’ils me disent … enfin si je sais, c’est pour faire plaisir à ma mère. Je pense lui avoir donné assez de malheur comme ça. Bref, je pousse la porte de l’infirmerie et … personne ! Génial ! Ne souhaitant pas particulièrement aller en cours, je m’allonge dans un des lits, les mains derrière la tête et attend tranquillement l’heure de déjeuner. Je ferme même les yeux –je pense m’être assoupis- quand j’entends quelqu’un rentrer. J’ouvre les yeux et rencontre des yeux bleus que je connais bien. Mes lèvres s’étirent en sourire lorsque je décide de quitter ses yeux pour détailler son corps. « On vient jouer les sexy infirmière pour moi Od ! » dis-je d’un ton enjôleur. « Parce que je sais que tu as toujours désirer mon corps, alors ne te gêne pas, tu peux m’examiner en profondeur ! » En finissant ma phrase, je joue avec le piercing qui se trouve sur ma lèvre, c’est un vieux réflexe depuis que j’ai ce dernier.
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Odelyia L. Rawson
RIVERSIDE GALEOCERDO
ARRIVÉ LE ► : 24/01/2015
MESSAGES ► : 200
AGE ► : Vingt deux ans.. Normalement on ne demande jamais l'âge d'une dame.
AVATAR ► : Candice Swanepoel.. Ouais j'ai fais quelques chirurgies esthétiques, je l'avoue.. (a)
CRÉDITS ► : endlesslove (avatar)
DC / TC ► : Seulement Odelyia.
PSEUDO, PRÉNOMS ► : #PHOENIX.
Sujet: Re: don't tempt me Jeu 12 Fév - 0:16
♛
Nathanaël & Odelyia
« Tu es le soleil de mes nuits. Inutile et gênant. »
Quelle garce ! Cette pauvre fille avait tout simplement osé me défier, certainement dans un moment de folie, qui lui avait à cette heure coûté quelques cheveux et un haut en soie complètement ruiner. M'insulter est une chose, mais à partir du moment où c'est devant moi avec une attaque qui se résume à s'être prit une claque non méritée à mon sens, j'ai le droit de me défendre non ? Il est vrai qu'une certaine rumeur la concernant circulait cet temps ci mais pour une fois je n'y étais absolument pour rien. Même si révéler au monde entier qu'elle trompait son idiot de quaterback avec son meilleur ami était une information croustillante je n'en avais pas eu vent avant qu'elle ne me soit raconté. En somme, après une gifle à la volée, je m'étais rebiffé et avait obtenue réparation en lui arrachant deux extensions et un bout de tissus vert émeraude de son haut. Certes, j'y avais laissé quelques plumes en bousillant mon énergie pour cette ringarde mais j'étais assez satisfaite de moi. Rien qu'à voir le regard effaré de certain, c'était exquis. Prenez en de la graine. La prochaine qui s'attaque à moi, ou s'amuse a me rabaisser, voir m'humilier connaîtra le même sort. Bref. Nous avions finalement prit des chemins différents rapidement, elle dans son état lamentable. Moi dans l'optique de lui montrer dans les prochains jours qui était le chef entre nous deux. J'espère qu'elle a une très bonne sécurité sociale, elle risque d'en avoir besoin. Accompagnée de deux de mes amies, l'une d'entre elles me fit rapidement remarqué que dans la bataille je m'étais prise quelques égratignures qui en ce moment même laissait quelques traces rouges dans mon cou et sur mes bras. Argh ! Je déteste me salir. Je fis signe aux filles en leur promettant que je les rejoindrais plus tard, avant de joindre l'infirmerie. Même pour quelques gouttes de sang, il était important de m'enlever les traces que cette satanée garce m'avait laissé. Ouvrant la porte avec rapidité, je remarquais rapidement que personne n'es y trouvait. Très bien. Ça me permettait de me servir à ma guise sans que l'on m'emmerde. Du moins c'est ce que je croyais naïvement jusqu'à ce qu'une voix masculine ne s'élève. Je levais presque immédiatement les yeux aux ciels, avant de me retourner pour voir cet espèce de bad boy bas gamme allongé sur l'un des lits. Ok. Je devais bien avouer qu'il était craquant avec son regard brûlant, son sourire à la con et ses tâches de rousseur qui représentait sa marque de fabrique mais c'était simplement parce que j'ai toujours eu mauvais gout. Dans tes rêves Maxwell! Ricanais-je en me retournant, fouillant dans les tiroirs en quête de mes emplettes. Trouvant enfin l'objet de mes convoitises en cette petite bouteille et quelques cotons. Quoique.. Il parait que je suis plutôt douée avec les aiguilles. Répondis-je une fois de plus en faisant référence aux seringues près de la table où je me trouvais. Qu'est-ce que tu fais là ? Finis-je par demander en m'asseyant dans une chaise afin de de m'occuper de mon cas. C'était plutôt agréable de se détendre et de ne plus sentir ce mal de pied que mes nouvelles chaussures m'infligeaient. Liberté. Ou presque.
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Mon cœur battait bien trop vite, le sang me monter au cerveau. Je devrais avoir les idées embrouillées mais ce n’était pas le cas. Je respirais fortement et pourtant au fond j’étais bien calme. Je n’étais pas dans cet état il y a quelque minute. Mon esprit était embrouillé par toute cette rage, toute cette colère. Mais maintenant j’avais pu l’évacuer. Maintenant j’avais la tête plus tranquille, ma respiration était encore rapide mais je sais que dans quelque instant elle sera plus calme. Comment évacuer tout cette rage ? Simple ! Je prends un mec –au hasard- je fais en sorte qu’il fasse la pire connerie de sa vie –c’était-à-dire venir se frotter à moi- et là j’ai le plaisir de pouvoir lui casser la gueule : dans tous les sens du terme. Je pense que même sa mère ne pourrait le reconnaitre. Il y avait aussi une autre solution, prendre une fille et la baiser violement dans les chiottes ou encore dans un placard ou peut être une salle de classe vide. Qu’importe ça marche aussi. Malheureusement je n’avais eu que ce mec sous la main. En fait c’est plus malheur pour lui que pour moi. Tout ce que j’avais c’était des phalanges rouge et en sang –un tiers était à moi le reste au gars. Ce qui était triste pour moi c’est que maintenant je devais aller à l’infirmerie. Personnellement je ne serais pas partis si un prof –dieu seul sait d’où il sortait lui- ne m’avait pas obligé. J’avais déjà fait assez de désordres pour lui casser la gueule au prof aussi. D’ailleurs c’est une limite que j’évitais de franchir mais que je sais que je pourrais. Heureusement que papounet était là pour donner une généreuse compensation à l’université en contre partie de mon comportement déplacé –c’est ce qu’il dit lui-même. Mais après tout, je ne lui ai pas demandé de le faire à ce pauvre –non en fait riche- con. Je me fiche de son argent et même de cet université. Si ce n’était que moi, je retournerais à Londres avec ma mère, mais cette … n’allons pas insulter ma mère, disons simplement qu’elle ne veut plus de moi. Je sais que je ne suis pas facile à vivre, mais je sais que je serais bien plus heureux à Londres qu’ici. Mais apparemment ce n’est pas l’avis de mes parents. Va savoir pourquoi je suis ce qu’ils me disent … enfin si je sais, c’est pour faire plaisir à ma mère. Je pense lui avoir donné assez de malheur comme ça. Bref, je pousse la porte de l’infirmerie et … personne ! Génial ! Ne souhaitant pas particulièrement aller en cours, je m’allonge dans un des lits, les mains derrière la tête et attend tranquillement l’heure de déjeuner. Je ferme même les yeux –je pense m’être assoupis- quand j’entends quelqu’un rentrer. J’ouvre les yeux et rencontre des yeux bleus que je connais bien. Mes lèvres s’étirent en sourire lorsque je décide de quitter ses yeux pour détailler son corps. « On vient jouer les sexy infirmière pour moi Od ! » dis-je d’un ton enjôleur. « Parce que je sais que tu as toujours désirer mon corps, alors ne te gêne pas, tu peux m’examiner en profondeur ! » En finissant ma phrase, je joue avec le piercing qui se trouve sur ma lèvre, c’est un vieux réflexe depuis que j’ai ce dernier.
